Le nombre de personnes réduite en esclavage
Les négriers arabes pratiquaient une guerre génétique
La traite nègrière arabe inspira le racisme arabe envers les Noirs
Les esclavagistes arabes ciblaient particulièrement les femmes pour les violer
La traite arabe orientale visait principalement les femmes africaines, maintenant un ratio de deux femmes pour chaque homme. Ces femmes et ces jeunes filles furent utilisés par les arabes et autres asiatiques comme concubines et servante.
Un esclavagiste musulman fut autorisé par la loi à la jouissance sexuelle sur ses femmes esclaves. Remplissant les harems des riches arabes, les femmes africaines mettaient au monde une foule d’enfants.
Cet abus des femmes africaines se poursuivra pendant près de 1200 ans.
la traite nègrière arabe annonça la traite négrière européenne
La traite arabe au 19ème siècle était économiquement liée au commerce européen des Africains. De nouvelles possibilités d’exploitation furent fournis par le commerce transatlantique des esclaves et ce qui poussa les négriers arabes au surmenage.
Les Portugais (sur la côte swahili) en profitèrent directement et furent responsables d’un boom économique dans le commerce arabe. Pendant ce temps, sur la côte ouest-africaine, les Portugais rencontrèrent des marchands musulmans retranchés le long de la côte africaine jusqu’au golfe du Bénin. Ces esclavagistes européens découvrirent qu’ils pouvaient se faire énormément d’argent en transportant des esclaves africains d’un poste de traite à un autre, le long de la côte atlantique.
La traite nègrière arabe déclencha l’une des plus grandes rébellions d’esclaves de l’histoire
La rébellion des Zanj eut lieu près de la ville de Bassorah, situé dans le sud de l’Irak actuel, sur une période de quinze ans (869-883 apr. J.-C.). L’insurrection est censé avoir impliqué des esclaves africains (Zanj) qui furent initialement capturés dans la région des Grands Lacs et les régions plus au sud d’Afrique orientale.
Les propriétaires fonciers Basran avaient fait déporter plusieurs milliers de Zanj d’Afrique de l’Est dans le sud de l’Irak pour drainer les marais salants à l’est. Les propriétaires fonciers ont forcèrent les Zanj, qui généralement ne parlait pas l’arabe, à effectuer des taches pénibles en leur fournissant seulement la subsistance minimale. Ce dur traitement déclencha un soulèvement qui impliqua plus de 500 000 esclaves et hommes libres qui furent déportés à travers le monde musulman.
les esclavagistes arabes évitèrent d’enseigner l’Islam aux Noirs pour justifier leur asservissement
Selon certains historiens, l’islam interdit la mise en esclavage de musulmans libre, de sorte qu’il n’était dans l’intérêt des négriers arabes de convertir les africains à la religion musulmane. Puisque la conversion des esclaves africains à l’Islam leur accorderait plus de droits et réduisait le réservoir potentiel de personnes à asservir, les propagateurs de l’islam adoptèrent souvent une attitude prudente à l’égard du prosélytisme à l’égard des africains.
Pourtant, si un Africain se convertissait à l’islam, cela ne lui garantissait pas la liberté, ni ne conférait la liberté à ses enfants. Seuls les enfants des esclaves ou des prisonniers de guerre non-musulmans pouvaient devenir des esclaves, jamais un musulman de naissance.
La Période
La traite arabe fut la plus longue et pourtant la moins discuté des deux grandes traites négrières. Elle commença au 7° siècle lorsque les Arabes et autres asiatiques affluèrent dans le nord et l’est de l’Afrique sous la bannière de l’Islam. La traite nègrière arabe en Afrique australe est antérieure à la traite négrière européenne de 700 ans. Certains chercheurs disent que la traite arabe continua sous une forme ou une autre jusqu’aux années 1960, cependant, l’esclavage en Mauritanie ne fut criminalisé que récemment qu’en Août 2007.
La traite nègrière arabe plus d’ascension sociale que la traite nègrière européenne
La mobilité sociale dans les rangs des esclaves n’était pas rare. Ibn Ziyad Tariq (qui a conquis l’Espagne et d’près qui Gibraltar fut nommé) était l’esclave de l’émir d’Ifriqiya, Musa bin Nusayr, qui lui donna sa liberté et le nomma un général de son armée.
Fils d’une mère éthiopienne réduite en esclavage, Antarah ibn Shaddād, aussi connu sous le nom d’Antar, était un afro-arabe qui naquit esclavage. Il finit par devenir un poète et un guerrier célèbre. Extrêmement courageux au combat, les historiens l’ont surnommé le «père de la chevalerie … [et] de la chevalerie» et «le roi des héros».
Ce type d’ascension sociale n’eut pas lieu dans le système de esclavagiste européen.
La traite arabe ne se limitait pas à l’Afrique ou à la de couleur de peau
Une des plus grandes différences entre le commerce arabes d’esclaves et l’européen était que les arabes trafiquèrent des esclaves de tous les groupes raciaux. Pendant les 8°et 9° siècles du califat fatimide, la plupart des esclaves étaient des européens (appelés saqāliba), capturés le long des côtes européennes et durant les périodes de guerres.
Mis à part les africains, des peuples d’une grande variété d’origines furent contraints à l’esclavage par les arabes, y compris les peuples méditerranéens; les Perses; les peuples des régions montagneuses du Caucase (tels que la Géorgie, l’Arménie et la Circassie), certaines parties d’Asie centrale, en Scandinavie; les anglais, les néerlandais les irlandais; et les berbères d’Afrique du Nord.
Pour finir, il est impossible d’ignorer la dimension religieuse et raciste de la traite. Punir les mauvais musulmans ou les paiens tenait lieu de justification ideologique a l’esclavagisme : les dirigeants musulmans d’Afrique du Nord, du Sahara et du Sahel lancaient des razzias pour persecuter les infideles : au Moyen Age, l’ islamisation etait en effet superficielle dans les regions rurales de l’Afrique. Les lettres musulmans invoquaient la suprematie raciale des Blancs, qui se fondait sur le recit de la malediction proferee par Noe dans l’ Ancien Testament ( Genese 9:20-27 ). Selon eux, elle s’appliquait aux Noirs, descendants de Cham, le pere de Canaan, qui avait vu Noe nu (une autre interpretation les rattache a Koush, voir l’article). Les Noirs etaient donc consideres comme « inferieurs » et « predestines » a etre esclaves. Plusieurs auteurs arabes les comparaient a des animaux