Diddy qui est en voie d’ouvrir une école dans le quartier mythique d’Harlem |
#Resistance
7 endroits à travers le monde qui eurent des mouvements du “Black Power”
États Unis
Afrique du Sud
Canada
Jamaïque
Australie
“Le Black Panther Party sera l’avant-garde pour tous les personnes opprimées, et en Australie, les Autochtones sont les plus opprimés de tous.”
Angleterre
Bermudes
Sources :
- Fear of a Black Nation: Race, Sex and Security in Sixties Montreal, David Austin
- Rhonda Y. Williams’ book, Concrete Demands: The Search for Black Power in the 20th Century
- Black Power in Bermuda: The Struggle for Decolonization by Quito Swan
- Reggae, Rastafari, and the Rhetoric of Social Control, a book written by Stephen A. King, Barry T. Bays III, P. Renee
Traduction #TeamOjal
5 révoltes d’africains à bord de navires négriers autres que celle de la Amistad
La révolte du Créole:
La révolte du Little George:
«Moi, George Scott, maître de la corvette le Little George, appartenant à Rhode Island; a navigué depuis les îles Bonnana sur la côte de Guinée, le premier de Juin 1730 ayant à son bord quatre-vingt seize esclaves africains. Le 6 du même mois à quatre heure et demi passée du matin, étant à environ 100 lieues de la terre, les hommes sont sortis de leurs fers, et se frayant un chemin à travers la cloison du pont, ont tué les sentinelles : le Docteur John Harris, Jonathan Ebens Cooper, et le marin Thomas Ham; qui étaient, probablement tous endormis. Etant alors dans ma cabine, j’ai entendu le bruit sur le pont (ils ont jeté les sentinelles par-dessus bord), j’ai pris directement mon pistolet, et ai tiré le le auvent qui était à l’arrière, ce qui a fait que tous les esclaves africains qui étaient à l’avant couraient en liberté, sauf un ou deux hommes (qui semblaient rire de la lâcheté des autres, et nous défiaient, étant seulement 4 hommes et un garçon) qui jetèrent les auvents, et nous tinrent confinés dans la cabine, en passant par l’échelle pour nous voir …».
La révolte des captifs de l’île de Gorée
La révolte au large de Cape Coast:
“Par une lettre en provenance des côtes de Guinée, via la Barbade, en date du 14 Janvier dernier, nous avons avis, que le capitaine Bears dans un navire appartenant à Rhode Island, étant au large de Cape Coast Castle avec un Nombre d’esclaves africains, et une quantité considérable de poussière d’or à bord; ces Africains ont trouvé une occasion de se révolter contre le capitaine et les hommes, et tuant ledit Maître et tout l’équipage, à l’exception des deux maîtres [lieutenant] , qui en sautant par dessus bord et en nageant vers la rive ont sauvé leur vie.”
Le massacre du Capitaine John Major et de son équipage:
Source
Traduction #TeamOjal
7 grands chefs militaires africains qui repoussèrent l’oppression européenne ou arabe
L’histoire militaire africaine est la plus ancienne au monde. Ces armées africaines furent menées par certains des plus grands chefs militaires de tout les temps. Voici un coup d’œil sur sept des commandants les plus extraordinaires de l’histoire:
1° Hannibal Barca :
2° Toussaint Louverture :
3° Shaka Zulu:
4° Taharqa:
5° Son Impériale Majesté Yohannes IV, Negusse Negest d’Éthiopie:
6° Tariq ibn Ziyad:
7° Hendrik Witboii:
Source : AtlantaBlackStar.comTraduit par la Team OJAL
Les Coromantee, les esclaves Ashanti des Caraibes
Soldat du Royaume Ashanti |
Histoire:
Origine:
Carte de l’Empire Ashanti et de la Gold Coast |
Fort William en 1890 |
Culture historique:
La cérémonie du Yam observée par les groupes Akan |
Rébellions menées par des Coromantee:
La rébellion de 1690:
Traité reconnaissant les Marrons de Cudjoe comme une nation indépendante |
La rébellion d’Antigua de 1736:
Le soulèvement des esclave de Berbice:
La conspiration de 1765:
La Rébellion de 1766:
La rébellion de “Bussa” à la Barbade en 1816:
La conspiration de Denmark Vesey en 1822:
Denmark Vesey |
La rébellion de Demerara en 1823:
Les Coromantee obligent les soldays européens, dirigés par le Lt Brady, à battre en retraite au Guyana |
Gravure de William Blake illustrant “un nègre pendu par ses côtes à une potence |
Le projet de loi pour interdire l’importation de Coromantee en Jamaïque:
Edward Long, administrateur colonial, historien et auteur britannique |
Un tel projet de loi, s’il est adopté frapperait à la racine même du mal. Plus aucun Coromantee n’infesterait ce pays, mais plutôt que leur race sauvage, l’île serait ravitaillée avec des Noirs d’une disposition plus docile et plus encline à la paix et à l’agriculture.
Assimilation:
Remarques:
- Behn, A., Gallagher, C., & Stern, S. (2000). Oroonoko, or, The royal slave. Bedford Cultural Editions. Boston: Bedford/St. Martin’s.
- Williams, Brackette (1990), “Dutchman Ghosts and the History Mystery: Ritual, Colonizer, and Colonized Interpretations of the 1763 Berbice Slave Rebellion“, Journal of Historical Sociology: 133–165, doi:10.1111/j.1467-6443.1990.tb00094.x.
- Egerton, Douglas R. He Shall Go Out Free: The Lives of Denmark Vesey, 2nd ed. Lanham: Rowman and Littlefield, 2004.
- Bryant, Joshua (1824). Account of an insurrection of the negro slaves in the colony of Demerara, which broke out on the 18th of August, 1823. Georgetown, Demerara: A. Stevenson at the Guiana Chronicle Office.
- Hutner, Heidi (1993). Rereading Aphra Behn: History, Theory, and Criticism. University of Virginia Press. ISBN 0-8139-1443-4
- Thornton, John K. (2000). War, the State, and Religious Norms in “Coromantee” Thought: The Ideology of an African American Nation– Possible pasts: becoming colonial in early America. ISBN 0-8014-8392-1.
- Viotti da Costa, Emília (18 May 1994). Crowns of Glory, Tears of Blood: the Demerara Slave Rebellion of 1823. ISBN 0-19-510656-3.
References:
- Crooks, John Joseph (1973), Records Relating to the Gold Coast Settlements from 1750 to 1874 (London: Taylor & Francis), p. 62. ISBN 978-0-7146-1647-6
- “Search the Voyages Database“. slavevoyages.org. Retrieved 14 February 2015.
- “Patois prophets leading us astray“. jamaica-gleaner.com. Retrieved 14 February 2015.
- “Quashee“. Dictionary.com. Retrieved 14 February 2015.
- “Philosophy of Survival: Anancyism in Jamaican Pantomime” (pdf). The Society for Caribbean Studies Annual Conference Papers 2: 1471–2024.
- Egglestone (2001), pdf.
- Long, Edward (1774). “The History of Jamaica Or, A General Survey of the Antient and Modern State of that Island: With Reflexions on Its Situation, Settlements, Inhabitants, Climate, Products, Commerce, Laws, and Government“
- Brian Dyde, A History of Antigua, London and Oxford: Macmillan Education, 2000.
- Smith, Simon David (2006). Slavery, Family, and Gentry Capitalism in the British Atlantic: The world of the Lascelles, 1648–1834. Cambridge University Press. p. 116. ISBN 0-521-86338-4.
- Ishmael, Odeen (2005). The Guyana Story: From Earliest Times to Independence (1st ed.). Retrieved 6 July 2008.
- David Granger (1992). “Guyana coins”. El Dorado, 2nd Issue: pp. 20–22. Retrieved 6 July 2008.
- “Denmark Vesey“, Knob Knowledge, Daniel Library, The Citadel, The Military College of South Carolina.
- “About The Citadel“, Office of Public Affairs, The Citadel, The Military College of South Carolina, May 2001.
- Sheridan, Richard B. (2002). “The Condition of slaves on the sugar plantations of Sir John Gladstone in the colony of Demerara 1812 to 1849” (pdf). New West Indian Guide 76 (3/4): 243–269.
- Révauger, Cécile (October 2008). The Abolition of Slavery – The British Debate 1787–1840. Presse Universitaire de France. pp. 105–106. ISBN 978-2-13-057110-0.
- “PART II Blood, sweat, tears and the struggle for basic human rights“. Guyana Caribbean Network. Retrieved 21 November 2009.
- “The Demerara Slave Uprising“. Guyana News and Information. Retrieved 20 November 2009.
- Behn, Gallagher and Stern (2000).
- Mullin, Michael (1995). Africa in America: slave acculturation and resistance in the American South and the British Caribbean, 1736–1831. University of Illinois Press. p. 26. ISBN 0-252-06446-1.
- “BMC Evolutionary Biology – Full text – Interdisciplinary approach to the demography of Jamaica“. biomedcentral.com. Retrieved 14 February 2015.
Traduction #Team Elimu
Henry “Box” Brown, l’esclave qui s’est posté vers la liberté
La Résurection d’Henry “Box” Brown à Philadelphie est une lithographie de Samuel Rowse publiée en 1850 |
Henry Brown est né esclave en 1815 dans le comté de Louisa, en Virginie. En 1830, il est envoyé à Richmond, la capitale de l’État, pour travailler dans une usine de tabac. Il se marie alors avec une autre esclave, Nancy, avec laquelle il a au moins trois enfants. Brown utilise son salaire pour payer le maître de Nancy pour le temps qu’elle passe auprès de ses enfants. Mais en 1848, sa femme et ses enfants sont vendus à un marchand d’esclaves et envoyés en Caroline du Nord, sans qu’Henry Brown ne puisse s’y opposer.
Bibliographie
- Brown, Henry, Narrative of the Life of Henry Box Brown, Manchester, England, Lee and Glynn, 1851
- Brown, Henry, Narrative of the Life of Henry Box Brown, Oxford University Press, 2003 (version révisée avec une introduction de Richard Newman, auparavant d’Henry Louis Gates, Jr.
- Ruggles, Jeffrey, The Unboxing of Henry Brown, Richmond, Virginia, Library of Virginia, 2003
- Levine, Ellen, Henry’s Freedom Box: A True Story from the Underground Railroad, New York, Scholastic Press, 2007
Source : Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé «Henry Box Brown»
traduction #TeamElimu
6 Faits intéressants au sujet de Gaspar Yanga
Contexte
Le Mexique avait une grande population d’esclaves africains
“Un recensement de 1646 dénombra 35089 Africains et 116529 personnes d’ascendance africaine en Nouvelle-Espagne. Avec la cessation de la traite des esclaves, la population esclave de la Nouvelle Espagne baissa régulièrement, “
L’établissement d’une société Noire libre à Veracruz
L’attaque de 1609
Les conséquences de l’attaque de 1609
L’héritage de Yanga
7 Exemples honteux des camps de concentration créés pour les Noirs
Les camps de concentration de l‘après-guerre civile aux États-Unis
«Lorsque les esclaves furent libérés des plantations pendant l’occupation, ils envahirent Natchez», déclara le chercheur Paula Westbrook. «Il y en eut environ entre 10 000 à 120 000 durant une nuit.»
Là, des dizaines de milliers de Noirs libre furent soumis à des conditions horribles qui conduisirent à leur mort. Au bout du compte, environ 20.000 noirs hommes, femmes et enfants furent tués.
Camps de concentration aborigènes
Les camps de travail pour Noirs durant de la guerre anglo-boer
Le génocide Herero et Namaqua et le camp de Shark Island
Le Camp de Tarrafal au Cap-Vert
Les Mau Mau et camps de concentration au Kenya
Les Noirs durant l’Holocauste allemand
Source : http://atlantablackstar.com/
Traduction #TeamOjal
Le All-African People’s Revolutionary Party de Kwame Nkrumah
Dr Kwame Nkrumah |